Georges PIOMBO

Je suis né en 1952. Le 7 février
J’ai eu la chance de faire des études scientifiques dans les écoles de la République comme disent les gens heureux. J’ai reçu un titre d’ingénieur. J’ai écrit des poèmes comme tout ado amoureux. Puis j’ai crié des quatrains, quand elles me quittaient, ou des chansons quand je partais. Elle est arrivée, je me suis fait tout petit, elle m’a tout appris.
C’est pourquoi aujourd’hui à l’aube du troisième âge, je me propulse grand romancier (1 mètre 83 centimètres).
Ce roman s'articule sur la volonté de vivre quoi qu'il en coûte. Les chapitres rythment les joies et les difficultés de la vie.
Construire un nid, le remplir d’oisillons de toutes les couleurs.
Le temps passe, les rires s’enchainent aux larmes, voyager, là-bas où ils sont nés.
L'humour se dispute avec le grave. Les chansons éclairent les pages.
Gagner des moments de vie, partager un parapluie rose, transmettre et s’en aller.
L’écrire pour ne rien oublier, une histoire d’amour, vous dis-je !
J’ai eu la chance de faire des études scientifiques dans les écoles de la République comme disent les gens heureux. J’ai reçu un titre d’ingénieur. J’ai écrit des poèmes comme tout ado amoureux. Puis j’ai crié des quatrains, quand elles me quittaient, ou des chansons quand je partais. Elle est arrivée, je me suis fait tout petit, elle m’a tout appris.
C’est pourquoi aujourd’hui à l’aube du troisième âge, je me propulse grand romancier (1 mètre 83 centimètres).
Ce roman s'articule sur la volonté de vivre quoi qu'il en coûte. Les chapitres rythment les joies et les difficultés de la vie.
Construire un nid, le remplir d’oisillons de toutes les couleurs.
Le temps passe, les rires s’enchainent aux larmes, voyager, là-bas où ils sont nés.
L'humour se dispute avec le grave. Les chansons éclairent les pages.
Gagner des moments de vie, partager un parapluie rose, transmettre et s’en aller.
L’écrire pour ne rien oublier, une histoire d’amour, vous dis-je !
Source : Babélio
Photo : Midi Libre
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